En provenance d’Aix en Provence, le jeune Mathieu Sarlin est la dernière recrue du Rugby Club Nîmois pour cette saison. Rencontre.
Mathieu, peux-tu te présenter rapidement ?
J’ai commencé le rugby à l’âge de 4 ans à l’AUC (ndrl Aix Université Club). Un club qui m’a transmis la passion de ce sport et ses valeurs. Puis, afin de jouer à un certain niveau, j’ai dû rejoindre le PARC (l’autre club d’Aix, aujourd’hui Provence Rugby), avec lequel j’ai eu l’opportunité de participer aux sélections départementales, régionales et interpoles jusqu’en Crabos. En parallèle, j’ai suivi un parcours sport-études du collège au lycée. Depuis trois ans, je joue également à 7, avec une équipe constitué d’ancien joueurs d’Aix et de joueur du sud-ouest (SHOW7).
Pourquoi avoir décidé de rejoindre le Rugby Club Nîmois ?
Pour être honnête je n’avais aucune idée de ma destination cette saison. Une indécision liée à mes études. Je cherchais en effet des écoles un peu partout en France pour poursuivre celles-ci. Puis, j’ai été contacté par Jean-Baptiste Cuq (ndrl l’entraineur des ¾ du RCN) qui connaît Yannick Osmond, le manager des Espoirs de Provence Rugby. Parallèlement j’avais postulé pour des écoles sur Montpellier. Je ne pouvais donc espérer mieux pour continuer à jouer dans un bon niveau et poursuivre mes études.
Connais-tu déjà des joueurs Nîmois ?
Je connais vaguement quelques espoirs avec qui j’ai pu jouer en sélection Provence. Sinon dans l’effectif de l’équipe 1, je connais seulement Samuel Roche que j’ai côtoyé à Aix en Provence, lors de mes deux premières années espoir.
Tu te définirais comment en tant que joueur ?
Comme un joueur assez rapide. J’essaye de me sortir des placages par des appuis et crochets, je recherche plutôt l’évitement que la confrontation directe avec l’adversaire. Je ne lâche jamais rien sur un terrain, je déteste perdre et fais tout pour être au service du collectif.
L’avis du manager Jean-Michel Millet
« C’est un joueur en devenir ! Selon les informations recueillies auprès de Provence Rugby, il a un gros potentiel. Il vient s’aguerrir chez nous »
