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Retrouver la dynamique !

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Retrouver la dynamique !

.Date de publication : 19/01/2018
Retrouver la dynamique !
Plus qu’un titre d’article (en l’occurrence celui du Midi Olympique du jour) ! C’est sûrement l’état d’esprit de tout le collectif nîmois. Car sans tomber dans le catastrophisme (l’équipe pointe à la deuxième place de la poule), il est vrai que les deux dernières défaites (contre Céret et Vienne) ont un peu plombé l’ambiance… Des résultats qui « nous obligent à trouver des solutions pour nous replacer très vite dans une dynamique positive » selon les propres dires de l’entraîneur Fred Lloveras. Alors quoi de mieux pour se relancer qu’un match au stade Kaufmann !  Une arène où, depuis le début de la saison, les joueurs nîmois sont invaincus, avec 24 points au compteur sur les 25 possibles ! De bonne augure… Surtout face à une équipe de Villeurbanne en pleine bourre ! Une équipe de l’Asvel qui ne cache plus ses ambitions. Aller plus haut et plus loin ! Sans bruit, les banlieusards de Lyon sont, en effet, au pied du podium. Avec sept victoires pour quatre défaites, dont deux bonifiées à Suresnes et à Dijon. Et une victoire à cinq points acquise le week-end dernier face à Agde. Aux joueurs nîmois d’inverser cette dynamique. A leur profit ! Vivement dimanche !
Au match aller…
Dans l’historique stade Georges Lyvet (qui vit sa dernière saison avant de laisse place au complexe de Tony Parker), les joueurs nîmois avaient eu beaucoup de mal à rentrer dans le match. A vrai dire, il aura fallu toute une mi-temps aux Nîmois pour rentrer dans la rencontre. Le score de 13 à 13 ne reflétant en rien la domination villeurbannaise dans ce premier acte, le Rugby Club Nîmois sauvant les apparences par un essai d’Antoine Lubrano sur interception à la 39ème minute… Au retour des vestiaires, un essai de Michaël Chicker laissait présager une fin heureuse. Mais c’était sans compter sur la réaction des locaux et l’indiscipline des joueurs nîmois (deux cartons coup sur coup). Score final : 26 à 23 pour Villeurbanne, et un bonus défensif pour le Rugby Club Nîmois en lot de consolation.

Plus qu’un titre d’article (en l’occurrence celui du Midi Olympique du jour) ! C’est sûrement l’état d’esprit de tout le collectif nîmois. Car sans tomber dans le catastrophisme (l’équipe pointe à la deuxième place de la poule), il est vrai que les deux dernières défaites (contre Céret et Vienne) ont un peu plombé l’ambiance… Des résultats qui « nous obligent à trouver des solutions pour nous replacer très vite dans une dynamique positive » selon les propres dires de l’entraîneur Fred Lloveras. Alors quoi de mieux pour se relancer qu’un match au stade Kaufmann !  Une arène où, depuis le début de la saison, les joueurs nîmois sont invaincus, avec 24 points au compteur sur les 25 possibles ! De bonne augure… Surtout face à une équipe de Villeurbanne en pleine bourre ! Une équipe de l’Asvel qui ne cache plus ses ambitions. Aller plus haut et plus loin ! Sans bruit, les banlieusards de Lyon sont, en effet, au pied du podium. Avec sept victoires pour quatre défaites, dont deux bonifiées à Suresnes et à Dijon. Et une victoire à cinq points acquise le week-end dernier face à Agde. Aux joueurs nîmois d’inverser cette dynamique. A leur profit ! Vivement dimanche !

Au match aller…

Dans l’historique stade Georges Lyvet (qui vit sa dernière saison avant de laisse place au complexe de Tony Parker), les joueurs nîmois avaient eu beaucoup de mal à rentrer dans le match. A vrai dire, il aura fallu toute une mi-temps aux Nîmois pour rentrer dans la rencontre. Le score de 13 à 13 ne reflétant en rien la domination villeurbannaise dans ce premier acte, le Rugby Club Nîmois sauvant les apparences par un essai d’Antoine Lubrano sur interception à la 39ème minute… Au retour des vestiaires, un essai de Michaël Chicker laissait présager une fin heureuse. Mais c’était sans compter sur la réaction des locaux et l’indiscipline des joueurs nîmois (deux cartons coup sur coup). Score final : 26 à 23 pour Villeurbanne, et un bonus défensif pour le Rugby Club Nîmois en lot de consolation.

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