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Retour aux sources…

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Retour aux sources…

.Date de publication : 30/11/2018

Arrivé à l'intersaison, Paul Oliver prend son mal en patience suite à sa blessure, et revient sur son retour à Nîmes

Valence-Romans, Paul Oliver connait un peu… Du temps où il évoluait au ROC (La Voulte Valence). « Ce n’est plus aujourd’hui la même réalité ! A l’époque, le rugby drômois était différent… Ce qui n’a pas changé, c’est la dimension physique, l’âpreté du jeu… Dimanche, ce sera un gros combat. Face à l’ogre de la poule ! Mais cela reste un match de rugby. » Une rencontre à laquelle il assistera du bord du terrain – blessé – avec beaucoup de regrets. « On joue au rugby pour ce genre de rencontres. A Kaufmann en plus ! » Un stade qu’il connaît bien… Lui qui a chaussé ses premiers crampons à six ans, à l’époque où un certain Armand Mardon y était responsable de l’école de rugby… « J’ai joué en mini-poussins avec Bastien Vilaret ! » Mais pas question d’envisager ce retour sur le sol nîmois comme une fin en soi. « Je ne suis pas venu pour boucler la boucle ! Je voulais vivre autre chose après une saison difficile à Agde. Je souhaitais renouer avec un club plus pro dans sa démarche sportive. Le fait que ce soit Nîmes, c’est un peu la cerise sur le gâteau. Le projet du club correspond de plus à mes aspirations. Cela a beaucoup compté dans mon choix. Je me sens bien dans ce groupe. J’aime l’état d’esprit qui y règne. La saine compétition et le travail qui y ait réalisé comme par exemple en conquête, .que ce soit en mêlée ou en touche. Il y a eu énormément de changements effectués par Armand (ndlr Mardon) vis à vis des postures, des façons de sauter ou de lancer. C’est passionnant de continuer à apprendre. Je suis venu à Nîmes pour progresser, et je ne suis pas déçu ! » Même si sa récente blessure l’oblige à ronger son frein… L’occasion pour nous de lui poser quelques questions saugrenues.

La concurrence avec Tim ....

Là où elle est la plus forte, c’est à table ! Qui mangera le plus (rires). Plus sérieusement elle est saine. On se connaît depuis longtemps et je pense qu’elle nous tirera vers le haut ! On est des compétiteurs et l’on apprend aussi beaucoup l’un de l’autre en se conseillant et en décryptant nos matches. 

Ton restaurant sur Nîmes ?

Un restaurant ... A une époque, McDonald’s du Mas Carbonnel. Simon Vilaret y a posé une tente là-bas en habitant chez sa grand-mère.  Du coup je lui rendais souvent visite !

Un bar ?

Le Victor Hugo. Quand j’étais jeune (sniff) pour voir Nicolas Alcalde derrière les platines.  Un plaisir pour les yeux ! (rires)

Un lieu culturel ?

Le Carré d’Art. J’aime cet endroit et j’y passe des heures à explorer les livres sur l’architecture zimbabwéenne.

Une promenade ?

Je vais être sérieux et répondre le jardin de la Fontaine avec ma femme et ma fille. Ce sont des moments supers qui me rappellent ma jeunesse à Nîmes. Quand ma maman et ma grand-mère me promenaient là bas.

Un lieu insolite ?

La Dolcezza, place du marché. Il faut y aller pour comprendre ... On repart de là-bas comblé et le ventre complet ! 

Un week-end end sans rugby ?

Je passe mon temps à réconforter Kevin Orengo qui est stressé de sa semaine d’entraînement et qui a peur de ne pas jouer le week-end d’après ...(rires)

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