En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation des cookies.En savoir plusD'accord
Aller au contenu Aller au menu Aller à la recherche

Pilier de devoir !

illustration de l'actualité :

Pilier de devoir !

.Date de publication : 10/05/2018

 

Pilier de devoir
Dans une équipe de rugby il n’y a pas de nom de poste aussi éloquent. Il n’est pas une partie de l’équipe, un demi, un trois-quarts, il n’est ni au centre ni à l’aile. Et si on le situe en première ligne, c’est bien pour signifier que derrière lui, il y a en d’autres de lignes. Non, un pilier, c’est un tout. Un joueur entier, un monument, un monolithe. Il est le partenaire auquel on doit tout, celui qu’on aurait tendance à oublier quand le buteur enquille la pénalité de la victoire, le forgeron qui ne se nourrit pas de passe sur un pas ou de cadrage-débordement appris au tableau noir. Quoique… Car le pilier, dont on parle à savoir Tim Daniel, sait presque tout faire. Travailleur de l’ombre il est une figure, comme on le dit en ces jours de féria proche. Une figure du club, un représentant digne de cette confrérie des premières lignes. Une académie qui se délecte du couinement adverse, du concassage de vertèbres et du coup de casque obscur. Même si parfois, il sait aussi marquer des essais dans ce bout du monde qu’est l’aile, entre tribunes et terrain. Avec toujours cet appétit, ce sentiment de « fierté de porter les couleurs du Rugby Club Nîmois ». Lui, l’enfant de Manosque, descendu de ses montagnes des Alpes de Haute Provence, est devenu par la force des choses – et surtout de son physique et de son tempérament, l’enfant de Nîmes. De celui du regretté Claude Pontaud d’abord, mais celui de tout un club par la suite tant ses chevauchées font vibrer le cœur du stade Kaufmann les jours de match. Qu’ils soient partenaires, supporters ou jeunes joueurs… Tim est quelque part l’âme même de ce club, l’une de ses véritables mascottes. Alors, le voir signer pour trois ans, quel bonheur ! « Le bonheur est pour moi ! Je suis tellement fier de la confiance que m’accorde le club. Car, signer trois ans est un véritable acte de confiance. Et au-delà, c’est la possibilité qui m’est donnée de grandir avec le club, d’apporter ma pierre au projet du club qui m’intéresse. Que ce soit en tant que joueur, mais aussi en tant que responsable de l’école de rugby. Quel défi ! Même si c’était aussi un vrai challenge, notamment celui de transmettre cet amour du maillot aux plus jeunes ». Homme de devoir, sans aucun doute…

Dans une équipe de rugby il n’y a pas de nom de poste aussi éloquent. Il n’est pas une partie de l’équipe, un demi, un trois-quarts, il n’est ni au centre ni à l’aile. Et si on le situe en première ligne, c’est bien pour signifier que derrière lui, il y a en d’autres de lignes. Non, un pilier, c’est un tout. Un joueur entier, un monument, un monolithe. Il est le partenaire auquel on doit tout, celui qu’on aurait tendance à oublier quand le buteur enquille la pénalité de la victoire, le forgeron qui ne se nourrit pas de passe sur un pas ou de cadrage-débordement appris au tableau noir. Quoique… Car le pilier, dont on parle à savoir Tim Daniel, sait presque tout faire. Travailleur de l’ombre il est une figure, comme on le dit en ces jours de féria proche. Une figure du club, un représentant digne de cette confrérie des premières lignes. Une académie qui se délecte du couinement adverse, du concassage de vertèbres et du coup de casque obscur. Même si parfois, il sait aussi marquer des essais dans ce bout du monde qu’est l’aile, entre tribunes et terrain. Avec toujours cet appétit, ce sentiment de « fierté de porter les couleurs du Rugby Club Nîmois ». Lui, l’enfant de Manosque, descendu de ses montagnes des Alpes de Haute Provence, est devenu par la force des choses – et surtout de son physique et de son tempérament, l’enfant de Nîmes. De celui du regretté Claude Pontaud d’abord, mais celui de tout un club par la suite tant ses chevauchées font vibrer le cœur du stade Kaufmann les jours de match. Qu’ils soient partenaires, supporters ou jeunes joueurs… Tim est quelque part l’âme même de ce club, l’une de ses véritables mascottes. Alors, le voir signer pour trois ans, quel bonheur ! « Le bonheur est pour moi ! Je suis tellement fier de la confiance que m’accorde le club. Car, signer trois ans est un véritable acte de confiance. Et au-delà, c’est la possibilité qui m’est donnée de grandir avec le club, d’apporter ma pierre au projet du club qui m’intéresse. Que ce soit en tant que joueur, mais aussi en tant que responsable de l’école de rugby. Quel défi ! Même si c’était aussi un vrai challenge, notamment celui de transmettre cet amour du maillot aux plus jeunes ». Homme de devoir, sans aucun doute…


 

Retourner en haut de la page