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Le Rugby Club Nîmois travaille sa cohésion

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Le Rugby Club Nîmois travaille sa cohésion

.Date de publication : 13/08/2018

 

Entre 4000 marches, VTT et Via Ferrata, le Rugby Club Nîmois s’est offert un premier vécu en commun sous l’ère du duo Armand Mardon / Pat Escande. Dans le magnifique cadre du Parc National des Cévennes. Court mais précieux.

Pour ce premier véritable rendez-vous de la saison, l’encadrement avait mis les petits plats dans les grands. Un nouveau staff du Rugby Club Nîmois qui souhaitait aussi changer les habitudes de pré-saison et mettre, tout de suite, sa patte dans des préliminaires qui ne sont jamais anodins dans le déroulement d’une saison. Oh, rien de révolutionnaire, à la vérité ! Mais une volonté de rechercher rapidement de la cohésion. Entre intensif et ludique. Pour apprendre ou réapprendre à se connaître, à vivre ensemble, à partager quelques aventures dans un environnement déconnecté du quotidien.

Et quel environnement que celui du Parc National des Cévennes pour un programme concocté aux  petits oignons… Avec plus de 10 kilomètres et 1000 mètres de dénivelés de marche, une trentaine de km de VTT pour la première journée. Une soirée autour d’un concours de pétanque et d’un convivial barbecue de viandes locales ! Avant de finir, le dimanche, par une Via Ferrata et du canyonning. Le tout dans le majestueux décor des Cévennes. Entre Valleraugue et Rousses… Pas sûr toutefois que tous aient apprécié ce décor à sa juste valeur ! Comme Nicolas Alcalde : « Marcher des heures, porter sur le dos son VTT, dormir sur une bâche, sans parler de tenter une via ferrata quand on a le vertige, c’est loin d’être génial ! A part le canyonning, j’ai détesté ce stage… Les gros, on en a ch… » Ce que confirme David Gonzalez. «On en a vraiment ch… le premier jour, mais le barbecue du soir et les activités ludiques du lendemain ont bien fait passer la pilule L'ambiance était bonne, malgré les difficultés. Malgré la nuit froide et humide. Et le sol dur ! «  Même son de cloche chez Faycal Tourek, « le stage a été difficile. Très physique. Mais cela a naturellement emmené beaucoup d’entraide, d’encouragement. Et puis après un barbecue et quelques bières… » Pour d’autres, les difficultés se sont cachées dans des détails. Le vertige par exemple pour Nicolas Alcalde et Faycal Toourek, ou « descendre le GR20 pendant 1 heure le VTT sur l’épaule, c’est dur. Mais le plus dur fût de voir la gueule de Mathieu Roucoux pendant deux jours ! », selon Brice Binard. Quand on parle de cohésion, atelier chambrage… Car tous sont unanimes pour exprimer que ce stage a resserré les liens, « créer du collectif, J’ai kiffé » conclut ainsi Nico.

 

 

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