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C'était le 7 décembre 1980 !

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C'était le 7 décembre 1980 !

.Date de publication : 28/03/2018

 

C’était le 7 décembre 1980 ! Le Rugby Club Nîmois recevait ce jour là au stade Nicolas Kaufmann la prestigieuse AS Béziers. Une équipe championne de France en titre, et aux 8 boucliers de Brennus. En route vers un 9ème titre de Champion de France. Mais l’histoire n’était pas encore écrite. Ce 7 décembre, c’était un peu David qui recevait Goliath ! Le petit poucet qui affrontait l’ogre, l’élève qui rencontrait le maître. Avec une histoire commune. Un lien lié à l’ancien Président Louis Gagnière, ancien joueur biterrois, finaliste du championnat de France avec cette même équipe en 1964. Plus qu’un lien entre ces deux clubs, c’est une véritable passerelle qui existe, à cette époque, entre les deux clubs. Avec pour exemple des internationaux comme Paul Dedieu, Yvan et André Buonomo ou André Lubrano et beaucoup d’autres qui n’hésitent à franchir le Vidourle ! 
Ce 7 décembre 1980, avant la réception de ce club phare du rugby français, le Rugby Club Nîmois avait déjà marqué sa promotion dans le groupe A de la 1ère division, le TOP 14 de l’époque. Notamment par une victoire contre l’Aviron Bayonnais, vainqueur la saison précédente du Challenge Yves du Manoir.
 
Ce 7 décembre 1980, 8ème journée des phases aller du championnat de l’époque, le stade Kaufmann avait fait le plein. Battant même son record d’affluence avec presque 3 000 personnes entassées dans les coursives  du stade ! Pour les gens de moins de 20 ans…. (Tim Daniel tu vois de quoi je parle !) Sachez qu’à cette époque seule la petite tribune existait !
Retour sur une rencontre épique ! Sur une rencontre où la vaillance nîmoise fût encensée par la presse spécialisée. Un match qu’aurait sûrement aimé commenter le duo Couderc Alabaladéjo tant la rencontre fût engagée du début à la fin. Béziers prenant le score et la main mise lors du premier acte avec notamment un essai à la 10ème minute de Claude  Martinez - futur nîmois 5 ans plus tard. Un premier acte se résumant par la suite à un échange entre les 2 buteurs des deux équipes : José Castello pour le Rugby Club Nîmois et Patrick Fort dit papî pour l’ASB. Pour un score de 15 à 9 pour les rouges et bleus à la mi-temps. De retour des vestiaires…. Erreur, à cette époque les joueurs restaient sur la pelouse. Ayant droit aux célèbres citrons et oranges… du marchand. La vitamine C ayant sûrement fait effet sur nos joueurs nîmois, ces derniers, remontés, entamèrent tambour battant le second acte de la rencontre ! Ainsi, après une chandelle du demi d’ouverture rouge & vert Thierry Ferrand tapée à la perfection sous les poteaux de l’ASB, Eric Tissot, lancé comme un avion tel un zéro lancé sur l’USS Arizona, se saisit du ballon et va à dame ! La transformation de José Castello permettant de revenir à parité. 15 partout ! Et une mi-temps à jouer ! Une mi-temps où nos valeureux nîmois refoulèrent les nombreux assauts du Grand Béziers. Une mi-temps où la vaillance nîmoise mit en échec les octuples champions de France. Une mi-temps où le jeu au pied, déjà connu, de José Castello marquât de son empreinte ce secteur de jeu (un secteur qui semble aujourd’hui délaissé par certaines équipes…). Un jeu au pied si important que celui-ci donna la victoire au Rugby Club Nîmois. Grâce à une dernière pénalité du même Castello, à la 59ème. Une pénalité de 50 mètre ! Une pénalité qui clôt le score mais pas le match. Les 20 dernières minutes mettant les spectateurs nîmois sous respiration artificielle ! Avant une délivrance pour l’entraîneur capitaine André Buonomo, ses joueurs, et le public nîmois. 

C’était le 7 décembre 1980 ! Le Rugby Club Nîmois recevait ce jour là au stade Nicolas Kaufmann la prestigieuse AS Béziers. Une équipe championne de France en titre, et aux 8 boucliers de Brennus. En route vers un 9ème titre de Champion de France. Mais l’histoire n’était pas encore écrite. Ce 7 décembre, c’était un peu David qui recevait Goliath ! Le petit poucet qui affrontait l’ogre, l’élève qui rencontrait le maître. Avec une histoire commune. Un lien lié à l’ancien Président Louis Gagnière, ancien joueur biterrois, finaliste du championnat de France avec cette même équipe en 1964. Plus qu’un lien entre ces deux clubs, c’est une véritable passerelle qui existe, à cette époque, entre les deux clubs. Avec pour exemple des internationaux comme Paul Dedieu, Yvan et André Buonomo ou André Lubrano et beaucoup d’autres qui n’hésitent à franchir le Vidourle ! Ce 7 décembre 1980, avant la réception de ce club phare du rugby français, le Rugby Club Nîmois avait déjà marqué sa promotion dans le groupe A de la 1ère division, le TOP 14 de l’époque. Notamment par une victoire contre l’Aviron Bayonnais, vainqueur la saison précédente du Challenge Yves du Manoir. Ce 7 décembre 1980, 8ème journée des phases aller du championnat de l’époque, le stade Kaufmann avait fait le plein. Battant même son record d’affluence avec presque 3 000 personnes entassées dans les coursives  du stade ! Pour les gens de moins de 20 ans…. (Tim Daniel tu vois de quoi je parle !) Sachez qu’à cette époque seule la petite tribune existait !Retour sur une rencontre épique ! Sur une rencontre où la vaillance nîmoise fût encensée par la presse spécialisée. Un match qu’aurait sûrement aimé commenter le duo Couderc Alabaladéjo tant la rencontre fût engagée du début à la fin. Béziers prenant le score et la main mise lors du premier acte avec notamment un essai à la 10ème minute de Claude  Martinez - futur nîmois 5 ans plus tard. Un premier acte se résumant par la suite à un échange entre les 2 buteurs des deux équipes : José Castello pour le Rugby Club Nîmois et Patrick Fort dit papî pour l’ASB. Pour un score de 15 à 9 pour les rouges et bleus à la mi-temps. De retour des vestiaires…. Erreur, à cette époque les joueurs restaient sur la pelouse. Ayant droit aux célèbres citrons et oranges… du marchand. La vitamine C ayant sûrement fait effet sur nos joueurs nîmois, ces derniers, remontés, entamèrent tambour battant le second acte de la rencontre ! Ainsi, après une chandelle du demi d’ouverture rouge & vert Thierry Ferrand tapée à la perfection sous les poteaux de l’ASB, Eric Tissot, lancé comme un avion tel un zéro lancé sur l’USS Arizona, se saisit du ballon et va à dame ! La transformation de José Castello permettant de revenir à parité. 15 partout ! Et une mi-temps à jouer ! Une mi-temps où nos valeureux nîmois refoulèrent les nombreux assauts du Grand Béziers. Une mi-temps où la vaillance nîmoise mit en échec les octuples champions de France. Une mi-temps où le jeu au pied, déjà connu, de José Castello marquât de son empreinte ce secteur de jeu (un secteur qui semble aujourd’hui délaissé par certaines équipes…). Un jeu au pied si important que celui-ci donna la victoire au Rugby Club Nîmois. Grâce à une dernière pénalité du même Castello, à la 59ème. Une pénalité de 50 mètre ! Une pénalité qui clôt le score mais pas le match. Les 20 dernières minutes mettant les spectateurs nîmois sous respiration artificielle ! Avant une délivrance pour l’entraîneur capitaine André Buonomo, ses joueurs, et le public nîmois. 

 

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