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.Date de publication : 07/04/2018

 

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Suresnes, un véritable pèlerinage
Suresnes, un véritable pèlerinage. Certaines équipes profitent de l’avant-saison pour marcher sur les traces de Saint Jacques de Compostelle. Non pas par superstition ou fanatisme religieux, mais tout simplement pour une simple remise en forme, cohésion comprise. Un chemin de croix que les joueurs nîmois vont connaître ce week-end pour cause de grèves. Car ce déplacement en région parisienne ressemble à une vraie épopée. On vous raconte les coulisses de ce déplacement. 
Nîmes / Suresnes. 3h50 en train, transfert compris. 6h25 en moto. 6h46 en voiture. Moins de 2h en avion. Six jours à pied. Entre 11h et 13h en bus. BINGO ! Pas si simple. Entre les joueurs disponibles et ceux liés par des engagements professionnels, difficile de savoir par quel chemin accéder à la capitale. Tout c’est décidé dans un petit bureau de moins de 20m². Non pas celui des stadiers, mais celui du responsable administratif du club. Le bien nommé Alexandre Salles. Et oui, malgré ses multiples fonctions, ce dernier n’occupe qu’un espace très réduit. Imaginez ce bureau. Celui donc d’Alexandre Salles devenu, l’espace d’une grève, un ministre des Transports. Un pro des déplacements nationaux. Au fil des heures et des jours, ce dernier se faisant des cheveux gris et quelques rides ! Au point d’envisager de passer in extremis un nouveau partenariat avec l’entreprise BlaBlaCar… Oui, vous avez bien entendu avec BlaBlaCar. Pour dire, il avait même calculé le nombre de voitures nécessaires pour véhiculer une trentaine de personnes... Là on a commencé à se dire qu’il y avait souci, voire péril en la demeure. Surtout quand de petits taquins lui ont soufflé l’idée du siècle d’appeler ses copains Qataris ! Idée saugrenue… Et que dire du président Olivier Bonné qui, au long de cette semaine au long cours, a même envisagé d’hypothéquer sa maison et sa méhari. Voire de vendre son chien… Sans parler des nœuds au cerveau que ce sont faits les entraîneurs pour composer l’équipe. Entre infirmerie et travail des uns et des autres… C’est aussi ça l

Suresnes, un véritable pèlerinage. Certaines équipes profitent de l’avant-saison pour marcher sur les traces de Saint Jacques de Compostelle. Non pas par superstition ou fanatisme religieux, mais tout simplement pour une simple remise en forme, cohésion comprise. Un chemin de croix que les joueurs nîmois vont connaître ce week-end pour cause de grèves. Car ce déplacement en région parisienne ressemble à une vraie épopée. On vous raconte les coulisses de ce déplacement. 
Nîmes / Suresnes. 3h50 en train, transfert compris. 6h25 en moto. 6h46 en voiture. Moins de 2h en avion. Six jours à pied. Entre 11h et 13h en bus. BINGO ! Pas si simple. Entre les joueurs disponibles et ceux liés par des engagements professionnels, difficile de savoir par quel chemin accéder à la capitale. Tout c’est décidé dans un petit bureau de moins de 20m². Non pas celui des stadiers, mais celui du responsable administratif du club. Le bien nommé Alexandre Salles. Et oui, malgré ses multiples fonctions, ce dernier n’occupe qu’un espace très réduit. Imaginez ce bureau. Celui donc d’Alexandre Salles devenu, l’espace d’une grève, un ministre des Transports. Un pro des déplacements nationaux. Au fil des heures et des jours, ce dernier se faisant des cheveux gris et quelques rides ! Au point d’envisager de passer in extremis un nouveau partenariat avec l’entreprise BlaBlaCar… Oui, vous avez bien entendu avec BlaBlaCar. Pour dire, il avait même calculé le nombre de voitures nécessaires pour véhiculer une trentaine de personnes... Là on a commencé à se dire qu’il y avait souci, voire péril en la demeure. Surtout quand de petits taquins lui ont soufflé l’idée du siècle d’appeler ses copains Qataris ! Idée saugrenue… Et que dire du président Olivier Bonné qui, au long de cette semaine au long cours, a même envisagé d’hypothéquer sa maison et sa méhari. Voire de vendre son chien… Sans parler des nœuds au cerveau que ce sont faits les entraîneurs pour composer l’équipe. Entre infirmerie et travail des uns et des autres… C’est aussi ça le rugby !

 

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