Soccer, Basket ou NFL ? Non RCN !
Avec Mathias AKNIN, Roman ALYRANGUES, Clément NIERAT ou Arthur VERNIER, ce sont plus de six joueurs Espoirs qui évolueront en équipe 1 ce dimanche contre le Stade Dijonnais !
Quel est ton sentiment après avoir appris ta sélection au sein du groupe de la 1 pour la Match contre Dijon ?
J’étais vraiment content ! Une fois dans la voiture, je me suis empressé d’appeler ma famille. L’euphorie est maintenant redescendue… Je la préserve pour dimanche. Je suis concentré à 100% sur le match de dimanche.
Comment abordes-tu cette rencontre ?
Je n’ai pas d’appréhension. En fait ce week-end, je vais jouer un match de rugby. Contre 15 joueurs sur de l’herbe ! Comme tous les week-ends en fait ! Dans mon stade! La seule différence, c’est que la moindre erreur à ce niveau est directement sanctionnée ! A moi d’être bon
Jouer en fédérale 1, une appréhension ? Ou seulement une chance ?
Je dirais un honneur ! La chance n’existe pas elle se provoque… Si je veux avoir une autre « chance », puis une autre… A moi de m’en donner les moyens. J’’ai les cartes en mains !
Comment se passe ton intégration au sein du groupe ?
Vraiment bien ! J’avais quelques appréhensions du fait d’être le plus jeune du groupe. Dans un groupe TRÈS soudé. Mais les joueurs m’accompagnent. Ils prennent, tous, le temps de répondre à mes questions, de m’accompagner, de m’expliquer. De même pour les entraîneurs !
Depuis quand es-tu au sein du Rugby Club Nîmois ? Ton parcours ?
Je suis arrivé au club en 2003. Philippe Poggetti – Popo – est un ami de mon papa. Il jouait encore (sic) ! Perso, j’en avais marre du foot. J’ai donc joué au due 7 à 16 ans. Au départ je jouais à l’aile… Avant d’être repositionné en 3ème ligne. Sans regret ! J’ai eu quelques sélections départementales, régionales puis PACA. Puis je suis parti au basket jusqu’à arriver au centre de formation en Espoirs-pro. Avant de revenir à la maison (au stade Kaufmann), avec un détour d’une demi-année au football américain en D2 … Puis retour dans mon club de cœur! Comme quoi tous les chemins mènent à « Nîmes »